MARDI NEUVIÈME SEMAINE DE TEMPS ORDINAIRE 2018:
Temps Ordinaire.PREMIÈRE LECTURE DE LA MESSE
Attendre activement le jour du Seigneur
2P 3, 12-15a.17-18
Lecture de la seconde lettre de saint Pierre Apôtre.
Frères,
vous qui attendez avec tant d'impatience la venue du jour de Dieu (ce jour où les cieux embrasés seront détruits, où les éléments en feu se désagrégeront).
Car ce que nous attendons, selon la promesse du Seigneur, c'est un ciel nouveau et une terre nouvelle où résidera la justice.
Dans l'attente de ce jour, frères bien-aimés, faites donc tout pour que le Christ vous trouve nets et irréprochables, dans la paix.
Et si notre Seigneur montre une telle patience, croyez bien que c'est pour votre salut. Alors, mes bien-aimés, vous voilà prévenus;prenez-y garde : ne vous laissez pas entraîner dans les égarements d'hommes dévoyés, et ne perdez pas la position solide qui est la vôtre.
Mais continuez à grandir dans la grâce et la connaissance de Jésus Christ, notre Seigneur et notre Sauveur. À lui la gloire, dès maintenant et jusqu'au jour de l'éternité. Amen.
PSAUME RESPONSORIAL
Ps 89, 2, 3-4, 10, 14.16
R/ D'âge en âge, Seigneur, tu as été notre refuge !
Avant que naissent les montagnes, que tu enfantes la terre et le monde, de toujours à toujours, toi, tu es Dieu. Tu fais retourner l'homme à la poussière;tu as dit : « Retournez, fils d'Adam ! »À tes yeux, mille ans sont comme hier, c'est un jour qui s'en va, une heure dans la nuit.Le nombre de nos années ? soixante-dix, quatre-vingts pour les plus vigoureux ! Leur plus grand nombre n'est que peine et misère;elles s'enfuient, nous nous envolons.Rassasie-nous de ton amour au matin, que nous passions nos jours dans la joie et les chants.Fais connaître ton œuvre à tes serviteurs et ta splendeur à leurs fils.
Acclamation de l'Évangile
1 Tm 6,15-16
Alléluia. Alléluia. Au souverain unique et bienheureux, le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs, honneur et puissance éternelle ! Alléluia.
GOSPEL DE LA MESSE
Dieu et César
Mc 12, 13-17
Évangile de Jésus Christ selon Marc.
On envoya à Jésus des pharisiens et des hérodiens pour le prendre au piège en le faisant parler, et ceux-ci viennent lui dire : « Maître, nous le savons : tu es toujours vrai;tu ne te laisses influencer par personne, car tu ne fais pas de différence entre les gens, mais tu enseignes le vrai chemin de Dieu. Est-il permis, oui ou non, de payer l'impôt à l'empereur ? Devons-nous payer, oui ou non ? »
Mais lui, sachant leur hypocrisie, leur dit : « Pourquoi voulez-vous me mettre à l'épreuve ? Faites-moi voir une pièce d'argent. »
Ils le firent, et Jésus leur dit : « Cette effigie et cette légende, de qui sont-elles ? ¦ De l'empereur César », répondent-ils.
Jésus leur dit : «À César, rendez ce qui est à César, et à Dieu, ce qui est à Dieu. »
Et ils étaient remplis d'étonnement à son sujet.